En général, je suis d'accord avec les opinions des libéralistes classiques. Par contre, il y quelques points sur lesquels j'aimerais élaborer. Par exemple, le professeur parle du fait que l'individu est plus important que la collectivité. Je ne pense pas que cette décision devrait être à deux côtés, mais plûtot que les deux doivent interagir. Les décisions prises par un individu devraient généralement protéger et satisfaire ses intérêts personnels tout en prenant en considération les retombées possibles sur la collectivité. Une société complètement individualiste ne pourra coopérer, mais une société entièrement collectiviste ne pourra innover. En parlant du scepticisme du pouvoir, le concept-même de pouvoir semble être hypocrite. Il mentionne comment les individualistes ne supportent pas l'utilisation du pouvoir pour exiger quelque chose. Par contre, les démocraties représentatives sont basées sur le fait que les citoyens utilisent leur pouvoir afin de forcer un député d'exécuter leurs ordres. Parfois, le député ne voudra peut-être pas faire ce que les citoyens lui demandent de faire. Alors, même les individualistes iraient contre leurs valeurs en exigeant et essentiellement forçant les députés de faire quelque chose. En contraste un gouvernement proposé par Rousseau encouragerait plutôt la prévention du scepticisme du pouvoir comme suggéré par le prof. Ses idées à propos de la société civile sont aussi bonnes, par contre il ne semble pas élaborer si et comment des programmes gouvernementaux volontaires seraient aussi plausibles. De plus, je ne suis pas d'accord avec son opinion de l'ordre spontané. Dans la vie, l'ordre, selon moi, n'est pas spontané, mais plutôt une amalgamation de valeurs, croyances et convictions. Les humains peuvent penser que leurs décisions etc sont spontanée mais je crois qu'elle naissent d'une partie sous-consciente des gens. Aussi, les interactions volontaires ne vont pas spontanément mener à des règles par lesquelles vivre. Certains principes comme la langue serait né des interactions volontaires, mais l'utilisation de l'expression "règle selon laquelle vivre" n'est pas justifiée dans ce contexte. Finalement, le gouvernement devrait être limité dans son rôle au point de ne pas interférer avec les individus, mais devrait plutôt assurer une certaine régularité dans les marchés et l'économie pour prévenir des fluctuations qui déséquilibreraient l'économie complète.
En générale, je suis d’accord avec plusieurs principes du libéralisme classique mais, il y a quelques idées présentés par les libéraux classiques qu’ont devraient examiner plus en profondeur. Le professeur a dit qu’un des valeurs principales du libéralisme classique est que les actions des gouvernements devraient être motivées uniquement sur l’augmentation des libertés individuelles. Même si le professeur a dit que les libéraux classiques considèrent l’intervention si les libertés individuelles étaient menacé, il n’avait pas élaboré à quel point les libéraux classiques seront prêts à accepter l’intervention gouvernementale. Un des problèmes avec ceci est qu’il n’y a pas les standards universelles sur quel point le gouvernement devrait intervenir. Ceci peut causer l’instabilité politique et sociale dans une nation où ces citoyens sont permis d’exprimer leurs opinions. Une autre idée centrale au libéralisme classique est l’idée que les intérêts individuels sont plus importants que les intérêts collectifs. Comme une société ont ne devraient pas séparer ces deux idées. Les décisions prises par un individu devraient généralement protéger et satisfaire ses intérêts personnels tout en prenant en considération les retombées possibles sur la collectivité. Dans une société qui est complètement individualiste, la coopération et la stabilité sociale sera impossible mais, dans une société complètement collectivistes, l’innovation et la progression socioéconomique sera impossible.
En général, je suis d'accord avec les opinions des libéralistes classiques. Par contre, il y quelques points sur lesquels j'aimerais élaborer.
ReplyDeletePar exemple, le professeur parle du fait que l'individu est plus important que la collectivité. Je ne pense pas que cette décision devrait être à deux côtés, mais plûtot que les deux doivent interagir. Les décisions prises par un individu devraient généralement protéger et satisfaire ses intérêts personnels tout en prenant en considération les retombées possibles sur la collectivité. Une société complètement individualiste ne pourra coopérer, mais une société entièrement collectiviste ne pourra innover.
En parlant du scepticisme du pouvoir, le concept-même de pouvoir semble être hypocrite. Il mentionne comment les individualistes ne supportent pas l'utilisation du pouvoir pour exiger quelque chose. Par contre, les démocraties représentatives sont basées sur le fait que les citoyens utilisent leur pouvoir afin de forcer un député d'exécuter leurs ordres. Parfois, le député ne voudra peut-être pas faire ce que les citoyens lui demandent de faire. Alors, même les individualistes iraient contre leurs valeurs en exigeant et essentiellement forçant les députés de faire quelque chose. En contraste un gouvernement proposé par Rousseau encouragerait plutôt la prévention du scepticisme du pouvoir comme suggéré par le prof.
Ses idées à propos de la société civile sont aussi bonnes, par contre il ne semble pas élaborer si et comment des programmes gouvernementaux volontaires seraient aussi plausibles. De plus, je ne suis pas d'accord avec son opinion de l'ordre spontané. Dans la vie, l'ordre, selon moi, n'est pas spontané, mais plutôt une amalgamation de valeurs, croyances et convictions. Les humains peuvent penser que leurs décisions etc sont spontanée mais je crois qu'elle naissent d'une partie sous-consciente des gens. Aussi, les interactions volontaires ne vont pas spontanément mener à des règles par lesquelles vivre. Certains principes comme la langue serait né des interactions volontaires, mais l'utilisation de l'expression "règle selon laquelle vivre" n'est pas justifiée dans ce contexte. Finalement, le gouvernement devrait être limité dans son rôle au point de ne pas interférer avec les individus, mais devrait plutôt assurer une certaine régularité dans les marchés et l'économie pour prévenir des fluctuations qui déséquilibreraient l'économie complète.
En générale, je suis d’accord avec plusieurs principes du libéralisme classique mais, il y a quelques idées présentés par les libéraux classiques qu’ont devraient examiner plus en profondeur.
ReplyDeleteLe professeur a dit qu’un des valeurs principales du libéralisme classique est que les actions des gouvernements devraient être motivées uniquement sur l’augmentation des libertés individuelles. Même si le professeur a dit que les libéraux classiques considèrent l’intervention si les libertés individuelles étaient menacé, il n’avait pas élaboré à quel point les libéraux classiques seront prêts à accepter l’intervention gouvernementale. Un des problèmes avec ceci est qu’il n’y a pas les standards universelles sur quel point le gouvernement devrait intervenir. Ceci peut causer l’instabilité politique et sociale dans une nation où ces citoyens sont permis d’exprimer leurs opinions.
Une autre idée centrale au libéralisme classique est l’idée que les intérêts individuels sont plus importants que les intérêts collectifs. Comme une société ont ne devraient pas séparer ces deux idées. Les décisions prises par un individu devraient généralement protéger et satisfaire ses intérêts personnels tout en prenant en considération les retombées possibles sur la collectivité. Dans une société qui est complètement individualiste, la coopération et la stabilité sociale sera impossible mais, dans une société complètement collectivistes, l’innovation et la progression socioéconomique sera impossible.